La forêt
Comme je descendais des fleuves impassibles
Bâtard
Exposition collective à la cave à bananes sur une proposition de Vanessa Morrisset, Éric Angelot et moi-même, en Janvier 2017.
« Comment, quand on travaille dans le domaine artistique, contribuer à une réflexion sur la crise dans laquelle nous sommes plongés, globalement une crise de l’humanisme de la culture occidentale, si bien traduite par la question de Dominique Lestel À quoi sert l’homme , intitulant l’un de ses ouvrages récents ?
Depuis l’Antiquité grecque, l’homme se pense comme autonome par rapport à lanature — un « empire dans un empire » pour reprendre les termes de Spinoza — position l’autorisant à y puiser desressources à sa guise. Or, aujourd’hui, ce modèle aboutit à une impasse et s’avère catastrophique. La question est
évidemment philosophique, politique, écologique, sociologique. Mais comment la traiter de manière artistique?Comment y prendre part en tant qu’artistes ou théoriciensde l’art, d’une manière non secondaire, c’est-à-dire non illustrative — créer des images d’après une idée — ni uniquement militante — créer et s’engager par ailleurs ?
L’exposition Bâtard, organisée à trois, deux artistes et une théoricienne, est avant tout une démarche visant
à être artistiquement actif dans une situation où tout le monde doit être mis à contribution » Vanessa Morrisset 2017
Spares zonephores
Faces and landscapes
Exposition à l’espace Funnel art gallery, Bucarest, Roumanie, mars 2015. Ensembles de toiles inspirées par des paysages roumains et de silhouettes vus du train lors de mes voyages entre Paris et Bucarest. Les dessins sont des encres sur cartes postales.
Le monde nous appartient
Exposition au lycée de L’Aigle dans le cadre du programme Panoramas 2014 organisé par la DRAC Basse-Normandie. Série de peintures inspirées par des plaquettes publicitaires pour des voyages organisés, réalisées entre 2000 et 2003
Tracer l’invisible
Exposition centre d’art Camille Lambert – Juvisy-2012 -une salle était consacrée aux dessins de la série Désordres, l’autre à une série de peintures réalisées à partir d’albums de famille.
ça ne va pas se passer comme ça
Un bal à Pascani
J’ai organisé cette exposition en 2011 sur le thème de la mémoire héritée, dans un château familial situé en Moldavie roumaine, avec 25 artistes français et Roumains.
- Installation composée de dessins posés sur des seaux de ménage rouges et éclairés de l’intérieur
- Le radeau : d’après une photo de famille où l’on voit ma mère encore enfant avec le roi de Roumanie sur un radeau. La scène a été prise pendant la seconde guerre mondiale. Au fond on devine la copie du Trianon à Floresti, à 100 km de Bucarest, qui aujourd’hui est un hospice de vieillards…
Exila
film – 20 minutes – animation et vidéo – À la fin de sa vie, ma mère me tendait une minuscule photographie en noir et blanc qu’elle sortait de son porte-monnaie : « tu vois, c’est mon palais à Iasi. Je vais m’y installer, qu’en penses-tu? ». Je devinais un grand bâtiment et je n’osais imaginer ce qu’il était devenu après toutes ces années et je la regardais, elle aussi rongée par la maladie et le temps. Après sa mort, je suis partie en Roumanie à la recherche de ce palais….
Œdipe, mon frère
Le Canicule
L’enquête stagne
La petite maison
Exposition au centre d’art Marcel Duchamp à Yvetot – 2009 :
- peintures de la série Autoportrait en situation imaginaire.
- Journal d’un été réalisé pendant une résidence à La Pommerie en août 2003 -techniques mixtes sur papier – 2 x 20 m –
l’île aux morts
les sorcières de Macbeth
Daphné sauvée par son père
Est-ce que Dieu croit aux hommes?
Aquarelle sur papier – 13 x 18 cm – octobre 2017